Cette émouvante nouvelle est parue notamment dans la revue La Vie littéraire en 1900.«Quand ils se rencontraient, elle lui rendait son salut avec un sourire grave et charmant. Je la sentais heureuse, elle si abandonnée et qui se savait perdue, je la sentais heureuse d'être aimée ainsi, avec ce respect et cette constance, avec cette poésie exagérée, avec ce dévouement prêt à tout. Et pourtant, fidèle à son obstination d'exaltée, elle refusait désespérément de le recevoir, de connaître son nom, de lui parler.»Source: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6302094m/f250.image
De la même thématique Littérature
-
Le Sens de nos pas
-
La Maison des Aravis
-
Les pensées pourrîtes
-
Ashley, où es-tu ?
-
Les vendanges de Juillet, suivi de Juillet en hiver
-
Secrets d'écriture : Et l'imagination prend feu
-
Illusions
-
La (petite) histoire de 100 (grandes) marques
-
Cent millions d'années et un jour
-
Le Bruissement du papier et des désirs
-
L'homme qui ressemblait au Christ : Une incroyable aventure au temps…
-
La Chanteuse de bal
-
Pétales au vent - Fleurs captives - Tome 2
-
La femme gelée
-
Fleurs captives - Tome 1
-
La cuisinière des Kennedy
-
Prendre la vie comme elle vient
-
Les étoiles de Sidi Moumen
-
Beau diable
-
Ars Obscura T.3 : Sorcier Empereur